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La pandémie COVID-19 est une véritable épreuve pour de nombreux pays déjà très touchés par les conflits et les catastrophes. Des pays dont le systèmes de santé, d'éducation et de protection sociale sont surchargés. De gezondheid en de toekomst van miljoenen kinderen staan op het spel en de rechten van de kinderen zijn meer dan ooit bedreigd.
Si l'on veut que les services de santé se remettent à fonctionner normalement, que des millions d'enfants ne soient plus privés d'école, il faut vacciner les personnes les plus vulnérables, les soignants et les enseignants.
Grâce au mécanisme COVAX, nous nous efforçons de garantir un accès équitable aux vaccins contre la COVID-19 dans le monde entier. Ce n'est qu'ainsi que nos enfants pourront à nouveau granndir dans de bonnes conditions.
Als enige organisatie ter wereld die over de infrastructuur, ervaring en deskundigheid beschikt om dit te realiseren, coördineert UNICEF binnen het dit initiatief de de aankoop, het transport en de opslag van de COVID-19 vaccins over de hele wereld.
L'UNICEF étant la seule organisation au monde à disposer de l'infrastructure, de l'expérience et de l'expertise nécessaires pour parvenir à réaliser ces opérations, l'organisation s'est vu confier la coordination des achats, du transport et du stockage des vaccins COVID-19 dans le monde entier dans le cadre de cette initiative.
Grâce au soutien de nos donateurs, nous avons livré1 milliard de vaccins vitaux dans 144 pays en 2021.
Nous avons atteint notre vitesse de croisière pour approvisionner les centres de santé du monde entier.
En 2022, nous voulons terminer ce que nous avons commencé. Mais nous ne pouvons pas le faire seuls. Alors retroussons tous nos manches ! Aidez-nous à poursuivre la plus grande campagne de vaccination de l'histoire.
Tout le monde mérite d'avoir accès aux vaccins contre le coronavirus.
Près de 40 années de conflit et de drames humains ont prélevé un tribut très lourd chez les enfants afghans. 3,7 millions d’enfants ne vont toujours pas à l’école, 600.000 enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition aiguë sévère et des milliers d’enfants ont perdu la vie durant les dernières décennies à cause du conflit armé.
Le système de santé du pays reste très fragile et sa capacité à absorber les effets de la crise de la COVID-19 demeure fort limitée. L’épidémie de COVID-19 constitue donc une menace considérable pour les enfants afghans.
Cette menace est particulièrement élevée dans des camps de réfugiés surpeuplés. L’UNICEF et ses partenaires unissent leurs efforts pour y maintenir de bonnes conditions d’hygiène en assurant l’accès à de l’eau potable, en installant des infrastructures pour le lavage des mains et en insistant sur la prévention.
Une pandémie de type Covid-19 peut avoir des conséquences particulièrement graves dans un pays confronté à une grave crise humanitaire. Plus de 12 millions d’enfants nécessitaient déjà de l’aide d’urgence avant l’arrivée du coronavirus au Yémen. Les systèmes de santé sont au bord de l’implosion. De nombreux ménages ont à peine ou pas du tout accès aux soins des santé. Le pays fait également face une insécurité alimentaire, une crise économique sans précédent et les communautés les plus vulnérables doivent régulièrement lutter contre le choléra et la dengue.
La situation est dramatique et requiert de ce fait des efforts gigantesques pour réduire au maximum les effets du Covid-19. L’UNICEF a étendu ses programmes à tout le pays. Nous concentrons nos efforts sur les populations les plus vulnérables et les personnes déplacées. Nous leur garantissons un accès à de l’eau potable et leur fournissons des kits d’hygiène – comprenant du savon, des serviettes, des seaux et des jerrycans. De la sorte, les communautés les plus exposées bénéficient de la protection nécessaire pour échapper au virus.
Cette année le conflit syrien entame sa dixième année, une décennie durant laquelle les enfants auront été confrontés à la guerre, à la violence, au déracinement et à bien d’autres épreuves dont la dernière en date est l’arrivée de la COVID-19. Avec elle, les Syriens risquent de devenir encore plus pauvres et les systèmes de santé déjà fort endommagés mis en encore plus sous pression.
L’UNICEF et ses partenaires déploient des efforts importants afin de donner toutes les informations utiles aux enfants et aux familles en matière de prévention de la COVID-19, à assurer les accès au niveau de l’eau potable et à distribuer des centaines de milliers de briques de savon aux populations les plus vulnérables pour endiguer la propagation du coronavirus.
Des années de conflit ont eu un impact dévastateur sur les services sociaux de base au Soudan du Sud. Environ 4,1 millions d’enfants sud-soudanais ont besoin d’aide humanitaire. On estime à 1,3 million le nombre d’enfants de moins de 5 ans qui souffriront de malnutrition aiguë en 2020.
Alors que nous mettons tout en œuvre pour prévenir la propagation du coronavirus, il faut impérativement maintenir les services de base à flot et veiller à ce que les enfants sud-soudanais ne décèdent pas non plus d’autres causes et maladies évitables. Dans les centres de santé soutenus par l’UNICEF, où l’on traite des enfants atteints de malnutrition, nous avons installé des espaces dédiés au lavage des mains et partout, nous demandons à ce que les distances physiques de sécurité soient respectées.
Nous insistons également beaucoup sur la prévention et veillons à ce que la population reçoive les informations correctes et vitales pour se protéger du coronavirus.